Le fait qu'il lui tende la main, qu'il lui dise de garder le manteau pour le trajet, d'autres actions encore qui réchauffèrent le cœur d'Adrìas. Décidément, cette soirée aurait été un îlot de chaleur dans une mer glaciale. Il lui indiqua le chemin avec attention, étroitement serré contre lui. Il ne lui avait même pas fait faire de détour pour égrainer quelques minutes avec lui encore. Il n'eut pas vraiment le temps ni l'envie de contempler la ville cette fois-ci. Une fois arrivé à destination, il descendit du porte-bagage et tendit son manteau à Ailbe.
"Voilà j'habite ici, au-dessus de l'Antre des roses. C'est ma boutique de fleurs." indiqua-t-il. La facade du bâtiment était plutôt sympathique, même dans la nuit. Adrìas l'avait décorée pour Noël. Non pas avec des lumières rouges et des pères noëls de toutes tailles, car il trouvait cela trop agressif dans son quartier ou rien n'était décoré, mais avec des décors en bois. Il les avait reçu il y a de cela quelques années : une de ses énième arrière-arrière-cousine les avaient dégoté dans un petit village. Maintenant sa vitrine se retrouvait agrémentée d'une douzaine de petites sculptures en bois, peintes dans des couleurs hivernales. Toutes représentaient soit un hibou, soit un sapin. Il y avait aussi deux trois lumières, mais pas très fortes, juste de quoi mettre en valeur sa décoration. Il n'en était pas peu fier finalement. A l'étage, sur le rebord de ses fenêtres trônaient quelques hibou ça et là, mais en métal cette fois.
Il rajouta à l'attention de son compagnon d'un soir : "Tu penses pouvoir retrouver le chemin ? Dans le pire des cas repasse par ici et je t'aiderai à retrouver." Il lui sourit, mais il savait que sous le porche il était un peu dans l'ombre.
"Voilà j'habite ici, au-dessus de l'Antre des roses. C'est ma boutique de fleurs." indiqua-t-il. La facade du bâtiment était plutôt sympathique, même dans la nuit. Adrìas l'avait décorée pour Noël. Non pas avec des lumières rouges et des pères noëls de toutes tailles, car il trouvait cela trop agressif dans son quartier ou rien n'était décoré, mais avec des décors en bois. Il les avait reçu il y a de cela quelques années : une de ses énième arrière-arrière-cousine les avaient dégoté dans un petit village. Maintenant sa vitrine se retrouvait agrémentée d'une douzaine de petites sculptures en bois, peintes dans des couleurs hivernales. Toutes représentaient soit un hibou, soit un sapin. Il y avait aussi deux trois lumières, mais pas très fortes, juste de quoi mettre en valeur sa décoration. Il n'en était pas peu fier finalement. A l'étage, sur le rebord de ses fenêtres trônaient quelques hibou ça et là, mais en métal cette fois.
Il rajouta à l'attention de son compagnon d'un soir : "Tu penses pouvoir retrouver le chemin ? Dans le pire des cas repasse par ici et je t'aiderai à retrouver." Il lui sourit, mais il savait que sous le porche il était un peu dans l'ombre.