Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu Mélusine, elle n’avait pas trop le temps en ce moment.
Elle m’avait proposé, il y a déjà quelques temps, de venir avec une autre de ses “disciples”, pour discuter, que je fasse connaissance avec une autre “éveillée”. Je dois dire que je n’étais pas très chaud.
Déjà parce que malgré la douceur de Mélusine, je n’étais toujours pas vraiment habitué à elle, alors avec en plus une inconnue… Puis je commençai vraiment à douter des “esprits”, enfin non, je ne doutais pas, mais… j’étais plus dans une sorte de déni. J’ignorai totalement ce fragment de ma vie, qui aurait dû complètement bouleverser ma réalité. Mais si ce n’est la disparition des rêves et que je n’étudiais plus, rien n’avait changé.
Mais bref, je devais y aller, je n’avais pas vraiment le choix. Courage !
L’adresse était un salon de thé qui venait d’ouvrir en ville. Le trajet avait été plutôt oppressant et ce fut une délivrance d’arriver devant la vitrine.
Et, à ma grande surprise, je connaissais ce salon, une folle aux cheveux bleus m’avait tiré à l’intérieur et j’avais fui quelques secondes après.
Je me rappelais aussi d’une femme à la carrure imposante qui contemplait la vitrine. Je ne sais pas bien pourquoi, mais cette image s’était incrustée dans ma mémoire, comme un rubis sur une tiare.
J’étais resté longtemps devant la vitrine, peut-être cinq minutes, peut-être plus, hésitant, comme le bijou de ma mémoire.
Finalement, j’entrai, mon cœur battait à faire exploser ma cage thoracique. Le salon de thé était dans les tons rose saumon et marron sombre, c’était plutôt cool et apaisant.
Elle m’avait proposé, il y a déjà quelques temps, de venir avec une autre de ses “disciples”, pour discuter, que je fasse connaissance avec une autre “éveillée”. Je dois dire que je n’étais pas très chaud.
Déjà parce que malgré la douceur de Mélusine, je n’étais toujours pas vraiment habitué à elle, alors avec en plus une inconnue… Puis je commençai vraiment à douter des “esprits”, enfin non, je ne doutais pas, mais… j’étais plus dans une sorte de déni. J’ignorai totalement ce fragment de ma vie, qui aurait dû complètement bouleverser ma réalité. Mais si ce n’est la disparition des rêves et que je n’étudiais plus, rien n’avait changé.
Mais bref, je devais y aller, je n’avais pas vraiment le choix. Courage !
L’adresse était un salon de thé qui venait d’ouvrir en ville. Le trajet avait été plutôt oppressant et ce fut une délivrance d’arriver devant la vitrine.
Et, à ma grande surprise, je connaissais ce salon, une folle aux cheveux bleus m’avait tiré à l’intérieur et j’avais fui quelques secondes après.
Je me rappelais aussi d’une femme à la carrure imposante qui contemplait la vitrine. Je ne sais pas bien pourquoi, mais cette image s’était incrustée dans ma mémoire, comme un rubis sur une tiare.
J’étais resté longtemps devant la vitrine, peut-être cinq minutes, peut-être plus, hésitant, comme le bijou de ma mémoire.
Finalement, j’entrai, mon cœur battait à faire exploser ma cage thoracique. Le salon de thé était dans les tons rose saumon et marron sombre, c’était plutôt cool et apaisant.