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Piotr Mikhailovitch
Piotr Mikhaïlovitch Vasnev est russe de naissance, causaque, mais il a quitté sa Russie natale à l’âge de 30 ans pour suivre la voit des cerfs. C’était un ingénieur en aéronautique relativement génial et il continue de faire joujou avec ses carlingues et ses vieux avions. Il a fait fortune en Russie grâce à l’invention d’une nouvelle forme de carrosserie qui rendait les avions plus aérodynamiques. Lorsqu’il arriva en France, il apporta ses idées avec lui et enfla sa fortune personnelle. Il créa une nouvelle entreprise, directement sur place et la fit fructifier en mettant en avant les métaux recyclés.
Lorsqu’on lui dit que son clan voulait ouvrir une boite de nuit, il se proposa directement comme gestionnaire, cela faisait à peine deux ans qu’il était là, mais il s’était directement impliqué et était une figure importante du clan. La boite tourne sous sa poigne de fer depuis plus de 9 ans et il n’y a jamais eu le moindre problème. Piotr a conscience de sa stature imposante et en joue avec parcimonie, mais toujours avec efficacité. D’autant que c’est une personne vaniteuse qui aime mettre en avant sa force physique, et à jouer de la musculature si besoin est.
Ses origines font de lui un battant et une véritable force de la nature. Il est le genre de protecteurs qui pour renforcer son élève, va l’envoyer dans la toundra russe seul, avec le stricte nécessaire pour vivre, pendant un mois. Pour l’endurcir. C’est la raison pour laquelle les esprits n’en feront jamais un élémentaire, de toute façon, il n’est pas intéressé, il préfère gérer sa boite, gérer son entreprise d’aéronautique et inventer des avions aux lignes de plus en plus épurées, sans applications militaires et les plus écologiques possibles.
Il a un sale caractère, un peu orgueilleux mais surtout fier de ce qu’il est devenu par rapport à la famille modeste dont il provient. Il ne manque pas d’assurance et de volonté. Il est cependant capable de changer d’avis comme de chemise si l’on tient le bon argumentaire en face de lui pour lui montrer qu’il a eu tort. Il sait se montrer engageant mais vous tordre les tripes la minutes d’après. Des rumeurs disent qu’il a fait partie de la mafia russe. Mais tenez-le-vous pour dit, ça n’a jamais été le cas. Même s’il en a le profil par bien des aspects. Il trouve d’ailleurs ridicules les gens qui pensent ça.
W.B
Lorsqu’on lui dit que son clan voulait ouvrir une boite de nuit, il se proposa directement comme gestionnaire, cela faisait à peine deux ans qu’il était là, mais il s’était directement impliqué et était une figure importante du clan. La boite tourne sous sa poigne de fer depuis plus de 9 ans et il n’y a jamais eu le moindre problème. Piotr a conscience de sa stature imposante et en joue avec parcimonie, mais toujours avec efficacité. D’autant que c’est une personne vaniteuse qui aime mettre en avant sa force physique, et à jouer de la musculature si besoin est.
Ses origines font de lui un battant et une véritable force de la nature. Il est le genre de protecteurs qui pour renforcer son élève, va l’envoyer dans la toundra russe seul, avec le stricte nécessaire pour vivre, pendant un mois. Pour l’endurcir. C’est la raison pour laquelle les esprits n’en feront jamais un élémentaire, de toute façon, il n’est pas intéressé, il préfère gérer sa boite, gérer son entreprise d’aéronautique et inventer des avions aux lignes de plus en plus épurées, sans applications militaires et les plus écologiques possibles.
Il a un sale caractère, un peu orgueilleux mais surtout fier de ce qu’il est devenu par rapport à la famille modeste dont il provient. Il ne manque pas d’assurance et de volonté. Il est cependant capable de changer d’avis comme de chemise si l’on tient le bon argumentaire en face de lui pour lui montrer qu’il a eu tort. Il sait se montrer engageant mais vous tordre les tripes la minutes d’après. Des rumeurs disent qu’il a fait partie de la mafia russe. Mais tenez-le-vous pour dit, ça n’a jamais été le cas. Même s’il en a le profil par bien des aspects. Il trouve d’ailleurs ridicules les gens qui pensent ça.
Amiyana Smith
Amiyana Smith est une enfant volée. Ses parents étaient des occidentaux, des américains peut-être mais elle fut enlevée par des hommes lors d’un voyage au Japon à l’âge de trois ans. Elle n’a plus de souvenirs de ses parents, ni de rien les concernant. Elle fut enfermée dans une cage de restriction et grandi ainsi. C’est une femme froide en apparence, dure à comprendre et avec laquelle les discussions ne sont pas forcément nécessaire. Pour se protéger, elle a en effet développé une méthode de silence parlant. Le moindre de ses gestes a un sens. C’est quelqu’un de très contemplatif.
Ces hommes qui l’ont kidnappé ont forgé une secte autour d’elle, mais elle n’a jamais compris pourquoi elle et pas une autre. Elle devait se cacher, et le grand maître de son ordre jouait le rôle de son père. Avec tous les inconvénients que cela impliquait. Elle était une égérie. Jusqu’à ses quinze ans, elle ne parla pas, n’ouvrit pas la bouche n’essaya pas de profiter de son pouvoir sur les fidèles de la secte. Mais un jour elle demanda une chose. Une chose qu’elle avait vu un jour traverser le parc.
Elle demanda un chat. Et on lui offrit l’animal, et lorsqu’elle demanda encore un autre animal, nul ne pensa à la contredire. En l’espace de deux ans, le bâtiment principal de la secte était devenu une sorte de refuge pour animaux. Et ils étaient considérés aussi sacrés qu’elle. Elle en profita, elle recueillit les animaux abandonnés, elle désobéit aux ordres du grand maître pour sortir dans la rue, pieds nus et chercher à sensibiliser les gens. Elle découvrit à ce moment que sa parole n’avait force de loin qu’entre les murs de sa secte. Cela la désappointa, mais son regard doux et direct, et sa volonté visible de bien faire plaisait aux gens qu’elle croisait.
Elle fugua de plus en plus souvent jusqu’à ses vingt ans, où elle entendit l’appel des esprits. Et elle partit en douce, en emportant autant d’argent que possible et en libérant tous ses amis animaux.
Elle arriva en France sans en connaître la langue, ni les mœurs. Elle continuait à se comporter comme une déesse, capricieuse et sûre d’elle et de son autorité. Nulle personne se rendant dans son refuge ne pouvait en repartir sans animal et la volonté de le protéger. Parce que quand elle ordonnait, les gens, malgré eux, obéissaient. Mais pas totalement forcés, c’était juste que ça leur paraissait naturel.
Amiyana est désormais dans le clan du cerf depuis plus d’une dizaine d’années, elle aime les animaux et a récupéré la gestion du refuge depuis la mort de Moka, un ancien cerf. C’est quelqu’un de direct et sûr de soi, imposante dans ses manières et ses paroles – rares d’ailleurs, qui a visiblement l’habitude de se faire obéir. Cependant, sa douceur apparente n’a d’égale que la douceur qu’elle emploie avec les animaux qui sont en confiance avec elle.
W.B
Ces hommes qui l’ont kidnappé ont forgé une secte autour d’elle, mais elle n’a jamais compris pourquoi elle et pas une autre. Elle devait se cacher, et le grand maître de son ordre jouait le rôle de son père. Avec tous les inconvénients que cela impliquait. Elle était une égérie. Jusqu’à ses quinze ans, elle ne parla pas, n’ouvrit pas la bouche n’essaya pas de profiter de son pouvoir sur les fidèles de la secte. Mais un jour elle demanda une chose. Une chose qu’elle avait vu un jour traverser le parc.
Elle demanda un chat. Et on lui offrit l’animal, et lorsqu’elle demanda encore un autre animal, nul ne pensa à la contredire. En l’espace de deux ans, le bâtiment principal de la secte était devenu une sorte de refuge pour animaux. Et ils étaient considérés aussi sacrés qu’elle. Elle en profita, elle recueillit les animaux abandonnés, elle désobéit aux ordres du grand maître pour sortir dans la rue, pieds nus et chercher à sensibiliser les gens. Elle découvrit à ce moment que sa parole n’avait force de loin qu’entre les murs de sa secte. Cela la désappointa, mais son regard doux et direct, et sa volonté visible de bien faire plaisait aux gens qu’elle croisait.
Elle fugua de plus en plus souvent jusqu’à ses vingt ans, où elle entendit l’appel des esprits. Et elle partit en douce, en emportant autant d’argent que possible et en libérant tous ses amis animaux.
Elle arriva en France sans en connaître la langue, ni les mœurs. Elle continuait à se comporter comme une déesse, capricieuse et sûre d’elle et de son autorité. Nulle personne se rendant dans son refuge ne pouvait en repartir sans animal et la volonté de le protéger. Parce que quand elle ordonnait, les gens, malgré eux, obéissaient. Mais pas totalement forcés, c’était juste que ça leur paraissait naturel.
Amiyana est désormais dans le clan du cerf depuis plus d’une dizaine d’années, elle aime les animaux et a récupéré la gestion du refuge depuis la mort de Moka, un ancien cerf. C’est quelqu’un de direct et sûr de soi, imposante dans ses manières et ses paroles – rares d’ailleurs, qui a visiblement l’habitude de se faire obéir. Cependant, sa douceur apparente n’a d’égale que la douceur qu’elle emploie avec les animaux qui sont en confiance avec elle.