Prédéfinis Elementaires [Conditions particulières]

Je suis Wilson Duclair, Marin de profession et Français de coeur et d'esprit. J'ai passé mon enfance en Bretagne, fils et petit fils de Marin. Je ne suis pas très grand, mais je compense ma taille par une noblesse d'âme dont la renommée court encore dans la ville. On ne me connaît pas pour ces petites choses que je sais faire avec la grande bleue, mais pour ma gentillesse et celle de mon père et de mon grand père avant moi. Enfant d'ici j'ai beaucoup voyagé, je retrouve ma mère avec joie, mon père lui a disparu en mer. Mon instinct me dit que tout n'est pas terminé, mais en attendant j'ai du vivre avec sa disparition. Je fais 1m65 pour 60 kilos, j'ai des cheveux aussi noirs que mes yeux. Mais bien que d'une couleur sombre, ils reflètent toute la bienveillance que j'éprouve à l'égard de la vie, autant humaine, biologique, qu'animale.

C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme. -Tin Tin Tin- Voila vous l'avez dans la tête. Ne me remerciez pas, ça me fait plaisir. Plus sérieusement, ma vie c'est la mer. Comme beaucoup de marins avant moi, je vis au rythme des vagues et mon coeur appartient à cette grande capricieuse, aussi belle que dangereuse. Qui d'autre que moi pourrait donc expliquer la beauté de l'élément aqueux et la grandeur des pouvoirs qu'elle offre? Personne, voila la vraie réponse. Et ce n'est pas pour me faire mousser, loin de là. La mer est dangereuse et il ne faut ni sous estimer, ni jouer avec elle. Si j'ai appris à l'aimer, je vous apprendrai à la craindre. Elle est la plus cruelle de toutes les maîtresses.  

Comme je vous l'ai dit, ma vie c'est la mer. Je suis né au bord de cette dernière, un soir d'orage .De quoi donner au plus insensible des hommes un coeur de Romantique. Et pourtant, je réserve tout mon amour aux vagues et aux embruns. J'aime sentir le sel sur ma peau après une promenade ou une partie de pêche. La mer c'est un métier qui n'est pas à la portée de tout le monde. Il faut avoir le courage d'affronter les tempêtes, accepter de sauter des repas faute d'avoir assez de poisson, savoir se restreindre parfois pour ne pas retirer toute forme de vie des océans. Il faut vivre au rythme des marées et être assez solide pour affronter la solitude, et je peux vous dire que ça demande un sacré travail. Mes formations se passent souvent sur le bateau, mon bateau. "Abigaïl". Tout le monde ne vit pas mes cours très bien, beaucoup ont rendu leur déjeuner, je vous prierai donc de venir sans avoir mangé. J'ai toujours un peu de rillettes de Thon et une baguette de pain avec moi, vous ne mourrez pas de faim.  

Le nom de famille est modifiable ! D'autres petits détails, mais il faut respecter au maximum ce qui a été posé.