Une fois arrivé devant cette sublime demeure, Séraphin se demanda une nouvelle fois s'il avait fait le bon choix. Il s'était dit que ce serait peut-être mieux d'arrêter de rentrer dans le tas en allant déranger directement ses petits apprentis chez eux. Sauf que pour l'apprenti en question, il avait traîné, pris par une violente envie de rester au chaud chez lui en ce début d'hiver difficile.
Voilà plusieurs semaines donc que Valrioss s'était installé en ville, et Séraphin n'était pas censé avoir attendu tout ce temps pour venir le voir. Alors maintenant, attendre que le jeune homme ne se rende à nouveau en ville et se pose dans un lieu public suffisamment longtemps pour que Séraphin puisse l'aborder, cela risquait d'être juste. Puis la socialisation, la rencontre, la subtilité, tout cela devenait un peu fatiguant pour le formateur de la Terre, qui finalement se plaisait bien à bousculer les petits nouveaux, les faire sortir de leur petit confort. De toute façon il faudrait bien qu'ils s'éveillent, brusquement ou en douceur c'est la même chose !
Séraphin retira son chapeau en s'arrêtant sur le porche et manifesta son arrivée, attendant qu'on lui ouvre. Vu la taille du manoir, il ne savait même pas s'il allait faire face à Valrioss lui-même ou à un employé de maison. Il espérait en tous cas ne pas avoir à faire à un individu mégalomane, égocentrique et entêté. Mais bon, il faut s'abstenir de juger les gens par leur possessions, aussi bien que par leur apparence. En parlant d'apparence, il espérait ne pas effrayer le petit nouveau, avec ses deux mètres zéro un récemment poussés vers les deux mètres zéro cinq ; mais quand allait-il arrêter de grandir ?
Voilà plusieurs semaines donc que Valrioss s'était installé en ville, et Séraphin n'était pas censé avoir attendu tout ce temps pour venir le voir. Alors maintenant, attendre que le jeune homme ne se rende à nouveau en ville et se pose dans un lieu public suffisamment longtemps pour que Séraphin puisse l'aborder, cela risquait d'être juste. Puis la socialisation, la rencontre, la subtilité, tout cela devenait un peu fatiguant pour le formateur de la Terre, qui finalement se plaisait bien à bousculer les petits nouveaux, les faire sortir de leur petit confort. De toute façon il faudrait bien qu'ils s'éveillent, brusquement ou en douceur c'est la même chose !
Séraphin retira son chapeau en s'arrêtant sur le porche et manifesta son arrivée, attendant qu'on lui ouvre. Vu la taille du manoir, il ne savait même pas s'il allait faire face à Valrioss lui-même ou à un employé de maison. Il espérait en tous cas ne pas avoir à faire à un individu mégalomane, égocentrique et entêté. Mais bon, il faut s'abstenir de juger les gens par leur possessions, aussi bien que par leur apparence. En parlant d'apparence, il espérait ne pas effrayer le petit nouveau, avec ses deux mètres zéro un récemment poussés vers les deux mètres zéro cinq ; mais quand allait-il arrêter de grandir ?