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    Pas de proprio, pas de droits d'auteur

    Pablo Fernandez
    Pas de proprio, pas de droits d'auteur > Mer 19 Juil - 18:40:41
    Pablo Fernandez 
    Citoyen Modèle
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    Messages : 31
    Date d'inscription : 08/11/2016

    La journée était plutôt chaude. Le temps était complètement détraqué en ce moment. Chaleurs écrasantes pendant trois jours, orages et alertes oranges les trois jours qui suivent. Il regrettait son pays natal, au moins on ne risquait pas une pneumonie deux fois par semaine. Enfin ça ne l'empêchait pas de sortir pour prendre le soleil, l'air, et surtout en prendre plein les yeux. Il y avait de la fesse moulée dans du maillot de bain plein la plage. Comme quoi, même en Bretagne on peut admirer le paysage sous le soleil.

    Et à vrai dire ce n'est pas le paysage qui l'avait amené dans cette partie particulière de Totarnec. Il voulait profiter de son appareil pour approcher des jolies créatures même s'il ne parlait pas la langue. Et il ne se privait pas pour le faire. Seulement voila, il y avait quelque chose qu'il n'avait pas vu dans ce coin là, une cabane qui avait l'air à la fois d'avoir été la depuis toujours et de ne pas avoir sa place dans le décor. Ce qui n'allait pas du tout. Elle avait un petit truc éxotique, un petit truc en plus.

    Un coup d'oeil à droite, un a gauche. Personne. Alors il pouvait prendre ses photos. Clic. Clac. De la droite, de la gauche, en plongée, en contre plongée. Il voulait attendre le coucher de soleil pour prendre ça avec deux couleurs de ciel derrière. Heureusement, il n'allait pas tarder, la journée était déjà bien avancée.
    Soizic Cloarec
    Re: Pas de proprio, pas de droits d'auteur > Sam 22 Juil - 20:43:08
    Soizic Cloarec 
    Totem du Saumon
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    Messages : 106
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    Aujourd'hui, pêche. Demain, peut être, encore à se morfondre de sa condition -c'était devenu une habitude depuis plusieurs jours. Les lèvres rougies par le sel, pieds nus, une robe légère, grise, et aussi sobre qu'un long sweet, Soizic portait une caisse remplie de glace et de poissons. Son chien décidément très fidèle ouvrait la marche. Il l'avait attendue sur la plage et l'avait suivie du regard jusqu'à ce qu'elle ne devienne plus qu'une épingle à cheveux sur la mer. Une heure plus tard, lorsque Soizic était revenue sur terre, le cabot lui avait fait la fête en tournant sur lui-même comme un diable. En un sens, Soizic était persuadée qu'il était hyperactif. Il trouvait toujours une occupation :, à sauter dans la boue, courir avec les insectes, loucher sur une herbe à l'odeur piquante et faire des allées-retours dans la maison, puis à l'extérieur, pour de nouveau dans la maison...à vous en donner le tournis!  

    Soizic cependant, c'était une autre histoire...Elle avait attaché son canot à l'arrière de sa Chevrolet et avait garé cette dernière en contrebas pour éviter que la bise salée n'emporte les derniers restes d'une peinture déjà triste à voir. Tout en portant le résultat de sa journée, donc, elle réfléchit à investir pour changer de caisson réfrigérant. Celui qu'elle possédait poussait des plaintes bizarres. Elle craignait qu'il ne claque lamentablement quand elle serait absente. Et un frigo qui ne marche pas, avec du poisson dedans...qui plus est à cette période de l'année, c'est un coup à brûler toute la cabane, et la plaine avec pour éradiquer l'odeur ! Soudain, son compagnon se met en mode parabole -elle se plaisait à dire ça. Une patte levée, son joli maintient de chien loup blanc qui se la raconte un peu -quand même..- et ses yeux perçants. Puis il se précipite sur la haute plaine pour l'abandonner. Soizic savait qu'il aimait y grimper pour avoir une vue imprenable sur la maison...elle se demande même si ce n'est pas réellement une race couplée de chien berger, ce qui expliquerait sa manie de vouloir regrouper tous les bouts de bois qu'il trouve à l'image d'un troupeau. Ou alors il est juste pas net.. Tel maître, tel chien, c'était ça la devise ? Elle soupire, lève les yeux au ciel et continue son chemin. Sûrement un touriste qui jugeait sa maison insolite, à coup sûr.

    Seulement voilà, quand elle dépasse le dernier vallon, elle fronce le nez. Elle ne sait pas si c'est un touriste, mais il a un appareil et mitraille sa demeure -oui sa demeure!- comme si cette dernière était une sorte de mannequin bien huilée. Ni une, ni deux, elle descend en prenant soin de rester invisible. Ouvrant la porte arrière de sa maison, non sans effort tant ses doigts sont engourdis d'avoir tenu sa caisse de poissons qu'elle dépose sur la table, elle va chercher l'objet de son affection. Ce bougre n'avait pas choisi son moment...vraiment pas! En ce moment, plus qu'en n'importe quelle autre période, Soizic n'était pas d'humeur à expliquer qu'il valait mieux demander l'autorisation.

    Elle ne savait pas si une loi rentrait en vigueur. En fait, elle était presque sûre qu'il ne faisait rien d'illégal. Mais cette cabane...c'était le dur labeur de son grand-père, de son grand-oncle, l'entretient acharné de son père ; et d'elle dorénavant! Savait-il les efforts qu'il en coûtait pour s'occuper d'une cabane proche de la mer ? L'humidité, le vent, le sel, sans compter les tempêtes aussi violentes qu'imprévisibles. Et si, en plus de tout le reste, elle devait finir sur des cartes postales ! Elle se saisit de sa pagaie en bois et ressort discrètement, à pas de loups.
    Les sourcils froncés, elle se met doucement, tout doucement, derrière le dos de l'inconnu et penche sa tête sur le côté pour évaluer le coup. Elle avait fait ça un nombre incalculable de fois à Mindanao... Il paraissait faire la même taille qu'elle. Soudain, avec une certaine volupté dans ses gestes, elle lui fauche les deux pieds avec sa pagaie. Rien de douloureux, elle savait s'y prendre, mais c'était diablement efficace! Elle le voit tomber net à terre, assez pour qu'elle se penche au dessus de lui, tout sourire.

    "Hello."

    Son regard est rieur au moment où elle s'appuie sur sa pagaie, l'air de rien.

    "Pas de photo chez moi."

    Le contemplant sans gêne, elle est surprise par l'apparence de l'homme. Il est...plutôt beau, et plus âgé qu'elle ne l'aurait cru.
    Pablo Fernandez
    Re: Pas de proprio, pas de droits d'auteur > Ven 28 Juil - 9:57:25
    Pablo Fernandez 
    Citoyen Modèle
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    Messages : 31
    Date d'inscription : 08/11/2016

    L'avantage quand on est libre c'est que tu n'as aucune obligation, et le gros soucis avec c'est que s'il t'arrive un pépin tu ne peux pas t'en sortir comme tu veux. Et là il ne le savait pas, mais il était sur le point d'avoir toute une pépinière. Enfin, pour le moment il était seulement concentré sur son cadrage. Quand il montrerait ses photos, s'il rentrait un jour chez lui, il ne voulait pas qu'on puisse lui reprocher d'être parti pour rien. C'était vrai, mais on aime jamais se l'entendre dire.

    Comme d'habitude il était impeccable, bien coiffé, bien habillé, à la pointe de la mode et avec ce petit air presque dédaigneux qui lui a valu autant de conquêtes que de baffes bien senties au coin de la figure. Il comptait sur le culot et l'apparence pour lui ouvrir toutes les portes, ne pensant pas un seul instant qu'il pouvait tout perdre d'un coup. La jeunesse, la beauté, la santé. Enfin comme tout le monde, il y penserait quand il serait au pied du mur et ça n'allait pas l'empêcher de profiter, économiser quoi que ce soit cétait un truc de fourmi de toute façon.

    Clic, clac. Ouep, il y avait de quoi faire le beau, assurément. La lumière n'était pas encore parfaite mais elle le serait bientôt . Il attendait le coucher du soleil avec impatience, c'était toujours quelque chose !Enfin, la ballade se terminait bientôt. Il était en train de chercher un autre angle qui puisse donner l'impression d'une photo totalement différente et voila qu'après une chute sans grâce qui cassa l'objectif de son appareil, il entendit la voix d'une femme. Un ange?

    Pas vraiment. Elle était jolie, un peu au moins, mais elle faisait sauvage. Au moins aussi sauvage que la maison qu'il était en train de prendre en photo. Coïncidence? Il n'y a que ça. Elle avait une robe on ne peut plus simple et un large sourire. Pablo ne savait pas encore pour l'appareil photo et il ne comprenait pas non plus ce qu'elle était en train de lui dire, mais même si elle n'était pas une muse de magasine, ça lui suffisait amplement.

    -Que beleza

    Ce n'était pas tout à fait vrai, mais un peu quand même.

    -Je le comprends pas Français

    Mais il n'avait pas du tout l'intention de se relever pour l'instant. La vue était trop belle.



    Soizic Cloarec
    Re: Pas de proprio, pas de droits d'auteur > Jeu 3 Aoû - 19:49:50
    Soizic Cloarec 
    Totem du Saumon
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    Messages : 106
    Date d'inscription : 11/06/2017

    Plusieurs émotions passèrent sur le visage de Soizic. L'amusement, la surprise et puis, de nouveau, un sourire vite raccroché, si joli que Soizic donnait l'impression d'être devenue une gosse la vieille de noël. Depuis combien de temps, déjà, n'était-elle pas tombée sur un étranger pur souche ? Un de ceux que la barrière de la langue n'avait pas épargné ? Elle avant bondi pour se placer bien devant lui, en oubliant jusqu'à sa pagaie laissée à même le sol. Elle n'avait pas compris un mot de sa tirade. Elle parlait déjà quatre langues, ce qui était tout de même admirable ! S'il y avait bien une chose pour laquelle elle se passionnait, en dehors de la mer et de son île natale, c'était bien les langues.

    N'ignorant pas le regard appuyé que lui envoie le jeune homme depuis tout à l'heure, elle semble cependant ne pas trop en tenir rigueur. Soizic n'était pas cette beauté habituelle, ce visage sans défaut qui transpirait le sex appeal. En soit, elle était plutôt banale sur le plan physique et elle s'en accommodait avec délice. Peut être que si elle avait mis un point d'honneur à prendre soin d'elle, en laissant pousser ses cheveux, en s'habillant dans la norme et en portant de fiers bijoux, elle aurait pu ressembler à quelque chose d'agréable. Mais elle avait pris le sens de la vie à l'envers, attirée par ses propres bonheurs : comme de porter une écharpe aux couleurs criardes que la plupart du commun des mortels détestaient.
    Voilà pourquoi elle ne s'offusque pas de la façon dont il la reluque. Bien qu'elle trouve ça assez...étonnant. S'accroupissant en croisant ses bras sur ses jambes repliées, elle penche la tête en le détaillant. Peut être que sa chute l'avait rendu assez confus ?...

    Je le comprends pas Français

    Son sourire s'étire de plus belle. Tout en parlant, elle mime ses paroles en espérant mieux se faire mieux comprendre - elle avait souvent tendance à gesticuler en expliquant des trucs.

    "You don't speak english either ?"

    Puis, sans même attendre sa réponse, elle s'assoit au sol pour qu'il se sente moins seul.

    "Ca ne doit pas être amusant, quand personne ne vous comprend.."

    Elle le murmure en fronçant des sourcils, parlant plus pour elle-même. Soudain, alors qu'elle s'apprêtait à poser une autre question, dans un espagnol approximatif cette fois, sa bonne humeur coule comme une goutte d'eau sur un vitrail trop pur. Son regard s'était arrêté sur l'appareil photo de l'homme....et sur son objectif.
    Alarmée, elle se penche et ramasse l'objet avec précaution, la mine inquiète.

    "Je ne voulais pas, je n'avais pas l'intention de...Mince" siffle-t-elle, circonspecte, lui envoyant un coup d'oeil risqué pour appréhender sa réaction.
    Pablo Fernandez
    Re: Pas de proprio, pas de droits d'auteur > Mer 23 Aoû - 15:13:45
    Pablo Fernandez 
    Citoyen Modèle
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    Messages : 31
    Date d'inscription : 08/11/2016

    Hors de question de bouger. Le point de vue était parfait et il commençait même à se dire que sous ses airs sauvages il se cachait peut être une beauté qui l'était tout autant. Il ne l'avait jamais croisée depuis son arrivée ici. Alors soit il ne trainait pas dans les bons coins, soit elle était discrète. C'était peut être plutôt la première solution, il l'aurait reconnue si il l'avait déjà croisée, c'était sur. C'était pas Pamela Anderson mais elle devait laisser une trace dans beaucoup de têtes.

    Et elle avait l'air d'être habitée. Sa tête surtout. Et voila qu'il se trouva libéré. Ah non hein ! Il ne voulait pas être libre. Elle pouvait revenir, pas de soucis, il ferait même semblant de se débattre. Non? Bon tant pis. Il se redressa un peu, histoire de ne pas avoir trop de sang qui lui monte a la tête. Dire qu'on parle pas français c'est à double tranchant, soit t'es un pigeon, soit t'es une pauvre créature à aider. Il aurait aimé qu'elle penche du côté du second. Il la regarda un instant. Complètement zappé l'objectif. Il gueulerait plus tard.

    Elle se mit à peu près à sa hauteur. Il ne manqua pas une miette du mouvement. Non pas qu'il ait peur qu'elle l'attaque, la pagaie était loin, mais on ne sait jamais. Les animaux sauvages faut s'en méfier. Ca sourit et une seconde plus tard t'as une marque affreuse sur la joue et fini les jolies filles. Quoi que, le côté bad boy ne faisait jamais de mal. Fin tant qu'on avait encore une tête à peu près potable.

    Ah, ça ressemblait à un mot qu'il connaissant. English. Mais pas trop English non plus. Langue de barbares. Il secoua la tête de la gauche vers la droite, si il avait bien compris, c'était la bonne réponse. Mais de toute façon elle ne le regardait pas, elle avait préféré se poser par terre. Ah ça vaut bien la peine de poser des questions !


    Son sourire s'étire de plus belle. Tout en parlant, elle mime ses paroles en espérant mieux se faire mieux comprendre - elle avait souvent tendance à gesticuler en expliquant des trucs. Il se redressa complètement. Elle parlait, mais ça ne ressemblait à rien. Rien qu'il connaisse. Il en profitait toujours pour se mettre à l'aise. Pas jusqu'à se curer le nez, il savait se tenir. Mais presque. Ah, et l'appareil photo?

    Mais elle avait parlé encore. Dilemme. La regarder pour être poli ou faire comme d'habitude et vérifier l'état de son matériel. Choix difficile. Il opta pour la politesse, sait-on jamais. Et puis non. En fait tout devait se passer en même temps. Elle s'arrête, elle réalise, elle revient vers lui, en quelque sorte, portant l'objectif brisé avec un air de chien battu qui vient de manger tout le chocolat et qui n'essaie plus de faire croire que ce n'est pas lui. Pablo est calme. Pablo est bien éduqué. Mais Pablo il tient à son appareil photo. Alors il sent la moutarde qui lui monte au nez.

    Il se contrôle, il joue, il plaisante, mais la photo c'est sacré. Et cet objectif la avait une valeur sentimentale. Alors Pablo il lui arrache l'objectif des mains. S'il avait été chez lui, il l'aurait peut être frappée . Mais la, il a eau savoir qu'il ne peut rien sauver

    " Não ! Foda-se !"

    Pas besoin de parler la langue pour savoir que ce n'était pas bon. Il ne lui en voulait pas à elle. Il était très croyant et il mettait ça sur le compte du destin, mais quand même. Il leva les yeux vers elle. Le charme était comme son appareil, brisé.

    "Je importante me beaucoup."

    Profitant de sa position assise, il posa l'objectif brisé, soupira bruyamment et laissa tout l'avant de son corps retomber vers l'avant dans un mouvement de découragement. Tout était intériorisé, mais ça n'avait pas l'air d'être une partie de plaisir.
    Soizic Cloarec
    Re: Pas de proprio, pas de droits d'auteur > Sam 9 Sep - 0:26:09
    Soizic Cloarec 
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    Elle fronce les sourcils, tracassée, et semble attendre qu'il crache sa haine en la menaçant dans une langue qui lui est inconnue. Elle se dit qu'elle l'aurait bien mérité. Mais son comportement est, contre toute attente, beaucoup plus surprenant. Aussi Soizic écarquille des yeux, observant le brun tandis que ce dernier se penche en avant comme un pantin désarticulé. A cette vision, ses lèvres rougies par le sel s'étirent, tellement qu'elle laisse échapper un rire franc : pareil à des grelots. Il était...drôle. Un véritable personnage. Soudain, une idée vient la frapper, si vite, qu'elle se redresse à la manière d'un ressort.
    Elle lui fait un signe de la main pour qu'il reste là.

    "Ne bouge pas!" elle ne sait pas s'il l'a compris, mais déjà elle se précipite chez elle pour chercher dans la commode de son salon. Ouvrant plusieurs tiroirs, il lui faut quelques minutes pour tomber sur l'objet de sa convoitise. Elle lâche une exclamation satisfaite et retourne dehors, où l'homme ayant perdu toute son énergie gît encore au sol.
    Amusée, elle retourne s'asseoir devant lui et se met à feuilleter un petit bouquin de poche. Elle penche sa tête sur le côté, murmurant des mots alors même que son index souligne certaines phrases du livre. Elle se savait douée pour les langues, et son père avait souvent l'habitude de jurer dans des langues étrangères... aussi elle croit avoir reconnu celle-ci...du moins elle l'espère !

    "Eu pagua....non, pague. Eu pegue você!" articule-t-elle à mesure qu'elle lit les lignes de son dictionnaire "Français - Portugais." Son père, quant à lui, le parlait couramment ; et il avait toujours mis un point d'honneur à collectionner les dictionnaires linguistiques. Soizic n'aurait jamais crû que cela lui servirait un jour! Inspirant à bloc, elle le regarde en haussant un sourcil, sans pouvoir se départir de son sourire  -ce qui, pour le coup, la rend plutôt attendrissante-.
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