Look. If you had one chance, one opportunity. To seize everything you ever wanted. Would you capture it ? Or just let it slip ?
Ce soir à vingt heures… Il serait disponible ? Si il ne siestait pas en plein milieu de l’après-midi, cela devrait être possible non ? Il n’était, clairement pas prêt. La maison n’était pas prête, et Roxanne ne le serait surement pas non plus. Il ne cachait pas macchabé chez lui, mais même si il n’était pas tout noir, il était loin d’être tout blanc.
Malheureusement pour lui, il n’avait pas la possibilité de se libérer avant pour faire un peu de rangement. Pire encore, il était curieux, curieux des réactions qu’elle aurait ; quitte à fuir à toute jambes. Il savait que le risque était omniprésent, mais il ne voyait pas l’intérêt de tout cacher non plus. Après tout, elle le découvrirait tôt ou tard, alors autant jouer franc jeu non ? D’autant plus que ce n’était pas chasse gardé.
De toute manière, il ferrait avec.
Mélion arriva en retard, 20h10, comme il lui avait annoncé plus tôt. De toute manière, il n’était quasiment jamais à l’heure. Il détestait ce genre de contrainte temporelle, quand bien même il avait pleine conscience de la puissance d’un tel outil.
Qu’avait-elle pu voir à son arrivé ? Si elle ne s’était pas trompé de numéro, la façade laissait apercevoir une grande demeure avec un étage, ainsi qu’un grand garage. La pelouse n’était clairement pas entretenue, et il ne respectait visiblement pas les quelques brins d’herbes ou fleurs qui étaient présente.
A son arrivé, le garage commença à s’ouvrir pour qu’il y range son véhicule à côté d’une moto, avant d’en sortir et de se diriger vers la petite femme. Un simple « re » suivit d’un petit sourire, un doux « désolé du retard » puis un signe de tête suivit d’un « Je te fais le tour du proprio ? » tout en se dirigeant vers la porte d’entrée.
« bon, je te préviens, je fais du tir sportif et je suis chasseur, je suis ni terroriste ni meurtrier. » avant de sortir son porte-feuille pour lui montrer ses permis qu’elle pouvait observer tandis qu’il dévérouillait la porte.
« J’ai pas non plus rangé, donc t’étonne pas troooop du bazar » dit-il afin de l’avertir pendant qu’il désactiver l’alarme en renseignant le code sur le panneau mural.
Non, il n’avait pas rangé, et à peine le palier de la porte passé, on pouvait comprendre qu’il vivait seul. Le sol était étonnement propre, mais le mobilier était dans un bazar certain. Seul la partie cuisine de la cuisine américaine brillait de sa propreté et de l’ordre spartiate qui y régnait.
Ce qui choquerait peut-être, les énormes drapeau qui recouvrait la totalité d’un des mur du salon : celui du japon impérial était aisé à reconnaitre, mais celui tout blanc aux fleurs de lys dorée l’était moins.
Ce qui la choquerait surement, c’était les armes de ci de là. Outre la table principale dont on discernait la partie nourriture et paperasse, une autre table près d’un mur était à son tour correctement rangé. Des boites de munitions ouvertes et quelques douilles sur la table, juste à côté d’un fusil d’assaut.
« Je mettrais tout mon matos dans une pièce » dit-il en s’approchant de la dite table pour prendre l’arme en main. Aucun chargeur engagé, il recula la culasse pour s’assurer que la chambre soit vide, puis mit l’arme en bandoulière sur son épaule avant d’attraper un revolver et de faire de même.
Un calme sourire aux lèvres, il se tourna vers la jeune femme et lui tendit l’AK-47 en demandant « tu veux voir avant que je la range ? »
Après tout, nul besoin de débuter la visite si elle abhorrait la simple vision d’une arme à feu. Test N°1.
Ce soir à vingt heures… Il serait disponible ? Si il ne siestait pas en plein milieu de l’après-midi, cela devrait être possible non ? Il n’était, clairement pas prêt. La maison n’était pas prête, et Roxanne ne le serait surement pas non plus. Il ne cachait pas macchabé chez lui, mais même si il n’était pas tout noir, il était loin d’être tout blanc.
Malheureusement pour lui, il n’avait pas la possibilité de se libérer avant pour faire un peu de rangement. Pire encore, il était curieux, curieux des réactions qu’elle aurait ; quitte à fuir à toute jambes. Il savait que le risque était omniprésent, mais il ne voyait pas l’intérêt de tout cacher non plus. Après tout, elle le découvrirait tôt ou tard, alors autant jouer franc jeu non ? D’autant plus que ce n’était pas chasse gardé.
De toute manière, il ferrait avec.
Mélion arriva en retard, 20h10, comme il lui avait annoncé plus tôt. De toute manière, il n’était quasiment jamais à l’heure. Il détestait ce genre de contrainte temporelle, quand bien même il avait pleine conscience de la puissance d’un tel outil.
Qu’avait-elle pu voir à son arrivé ? Si elle ne s’était pas trompé de numéro, la façade laissait apercevoir une grande demeure avec un étage, ainsi qu’un grand garage. La pelouse n’était clairement pas entretenue, et il ne respectait visiblement pas les quelques brins d’herbes ou fleurs qui étaient présente.
A son arrivé, le garage commença à s’ouvrir pour qu’il y range son véhicule à côté d’une moto, avant d’en sortir et de se diriger vers la petite femme. Un simple « re » suivit d’un petit sourire, un doux « désolé du retard » puis un signe de tête suivit d’un « Je te fais le tour du proprio ? » tout en se dirigeant vers la porte d’entrée.
« bon, je te préviens, je fais du tir sportif et je suis chasseur, je suis ni terroriste ni meurtrier. » avant de sortir son porte-feuille pour lui montrer ses permis qu’elle pouvait observer tandis qu’il dévérouillait la porte.
« J’ai pas non plus rangé, donc t’étonne pas troooop du bazar » dit-il afin de l’avertir pendant qu’il désactiver l’alarme en renseignant le code sur le panneau mural.
Non, il n’avait pas rangé, et à peine le palier de la porte passé, on pouvait comprendre qu’il vivait seul. Le sol était étonnement propre, mais le mobilier était dans un bazar certain. Seul la partie cuisine de la cuisine américaine brillait de sa propreté et de l’ordre spartiate qui y régnait.
Ce qui choquerait peut-être, les énormes drapeau qui recouvrait la totalité d’un des mur du salon : celui du japon impérial était aisé à reconnaitre, mais celui tout blanc aux fleurs de lys dorée l’était moins.
Ce qui la choquerait surement, c’était les armes de ci de là. Outre la table principale dont on discernait la partie nourriture et paperasse, une autre table près d’un mur était à son tour correctement rangé. Des boites de munitions ouvertes et quelques douilles sur la table, juste à côté d’un fusil d’assaut.
« Je mettrais tout mon matos dans une pièce » dit-il en s’approchant de la dite table pour prendre l’arme en main. Aucun chargeur engagé, il recula la culasse pour s’assurer que la chambre soit vide, puis mit l’arme en bandoulière sur son épaule avant d’attraper un revolver et de faire de même.
Un calme sourire aux lèvres, il se tourna vers la jeune femme et lui tendit l’AK-47 en demandant « tu veux voir avant que je la range ? »
Après tout, nul besoin de débuter la visite si elle abhorrait la simple vision d’une arme à feu. Test N°1.